Chers zzzamis du Parler Bruxellois, Masskes en Kadeikes, goeiendag bonjour !
L’été a déjà bien commencé nawo et comme d’habutude, je dirais « Ce qu’on a déjà eu, on sait plus nous reprend’ ! », mêm’ si comme ça une chaleur, ça n’a rien de vraiment tof….
Enfin, on sait comme ça discuter pendant des heures sur le « Fais mauvais, y pleut, y fait trop chaud et tsètéra » mais ça sert une fois à rien pasqu’on sait quamêm rien changer à l’affaire !
C’est pas toujours facile de trouver des choses intéressantes à raconter et je dois avouer que je dois parfois casser ma tête pour trouver quêqu’chos’ que vous allez aimer.
Et puis, je venais jucht de rentrer de congeï que je reçois un messach’ de mon ami Robert Delathouwer qui me demande les coordonnées pour contacter Nicolas Géal – Toone VIII – pasque son poepa José allait recevoir une distinction de « Koelelberghois à vie « .
Et comme ça, tout d’un coup, j’ai trouvé mon sujet : je vais une fois vous raconter l’histoire de la dynastie des Toone.
Bien sûr, je vais vous raconter un splendide livre qui en parle et qui a été écrit par Andrée Longcheval, l’épouse de José – Toone VII – et Luc Honorez. La source est sûre et certaine : si elle sait pas, personne le sait !
Y faut d’abord s’imaginer la vie « culturelle » de l’époque : à part les gens riches qui vont au théâtre ou au spectacle, le « petit peuple » n’est pas fort bien servi….même pas servi du tout……
Le seul loisir abordabel à cette époque, c’est ou bien l’estaminet, ou bien le théâtre de marionnettes ousque les familles savent trouver un spectakel amusant et surtout pas cher.
On va voir qu’ y avait une certaine concurrence parmi les montreurs de marionnettes à Bruxelles.
Chers zzzamis du Parler Bruxellois, Masskes en Kadeikes, goeiendag bonjour !
De zaumer ès al gau begost en as van gewoeïnte zou ek zegge “ Wa da me al g’at èmme kunne z’ons nemi afpakke !” ….zeulfs as zou een hitte da’s toch ni tof uuk ni……
Enfin, ja , me kunne zou eure lank discuteïre op “’tT’ès slecht weir, et reigent, ’t ès te wèrem en zou vouch” mo dat dient toch vè niks want me kunnnen er toch niks oen verandere !
’T ès ni altaaït gemakkelek van interessante dinges te vinne vè aaïle te vertelle en ik moen wèl zegge da’k er van taaïd maane kop op breik vè éét te vinne da ge geire goeït leïze.
En dèn, jucht as ek weïkwam van maane congeï, kraaiïg ek ne messach’ van maane kameroed Robert Delathouwer dé ma achter den tèlefon van Nicolas Géal – Toone VIII – vroegt. Want za poepa – José Géal – goe benoemd weude as “Koekelberghois pour la vie”.
En zou in iene ki èm ek maane “sujet” gevonne : ik goen aaïle d’histaure vertelle van de “Dynastie” van Toone.
Nateurlaaïk goen ek doveuï ne boek pakke , geschreïve deuï Andrée Longcheval , de vrââ van José – en Luc Honorez.
As zuï et ni weut, dèn zal et nemand ni weite !
Me moeten ons iest deet kultureil leive in daan taaïd imagineire : b’halve de raaike méése dé no’t spektoekel of no’t théjoeter ginke, “et klaan volk” was ni gau bediend….zeulfs ni bediend……
Et ienegste da ze koste daun, was ofwèl no ’t stamenei trekke, of no den “Théâtre de Marionnettes” dé on de giel famile e tof spektoekel (uuk absoleut ni déér) koste prèsanteire.
Me zulle zéén dad er in daanen taaïd hiel veul verschillende “concurence” was tusse deï klaan théjoeterkes.
Toone I, dit Toone l’ancien
Antoine Genty nait le 30 novembre 1804 à Bruxelles.
Rebaptisé « Antoon » pour l’Etat Civil quand arrive le régime hollandais.
Mais de toutes façons, depuis sa naissance, ce kèt porte le nom de Toone pour les siens et pour ses kamerotches.
Il habite dans les Marolles dans une maison de la rue de la Rasière.
Selon certaines sources, Toone I commence sa carrière de marionnettiste en 1830, rue des Sabots.
Successivement, y va jouer rue de la Plume (1865) , rue du Miroir (1866) et plus tard, rue des Vers (qu’on a renommé rue Pieremans en 1960).
Y va terminer sa carrière à l’impasse des Liserons, une impasse où vivent de nombreux artistes en tous genre. (on va voir plus tard que cette adresse va accueillir pas mal de marionnettistes.)
Comme y sait pas lire et pas écrire, il joue ses pièces en se fiant à sa mémoire.
Dans les grands journaux de l’époque, on publie des feuilletons de grands classiques (« Les Quatre fils Aymon » et plus tard, des romans de cap et d’épée de Dumas et Féval)qu’on lui raconte et ces oeuvres vont agrandir son répertoire (ces histoires font rêver le public qui oublie ainsi la misère dans laquelle il vit).
Y joue pas seulement dans son théâtre mais ossi chez des particuliers, des cercles d’art, des fêtes de bienfaisance.
Toone l’Ancien joue tous les rôles, y prête sa voix et la module de la voix d’enfant à la voix d’adulte, en passant par la voix féminine et autres effets.
Il est entouré de manipulateurs.
Il décède le 19 octobre 1890.
Toone I, “l’Ancien”
Antoine Genty ès in Brussel gebaure op 30 november 1804. Benoemd as “Antoon” as d’Hollanders in de regeiring zoette.
Mo vè zaan kameroede en famile was em “Toone” van den dag dat em gebaure ès.
Eij woeiïnt in de Marolle in een hoeïs in de rue de la Rasière.
Et schaaïnt dat em in 1830, in de “rue des Sabots” as marionnettist begint.
Eï goet ienegte kiere verhoeïze in de “rue de la Plume (1865), in de ru’ du Miroir (1866) en loeter in de “rue des Vers ( da ze loeter de Pieremansstroet goen baptiseire ).
Tot et ende in d’Impasse des Liserons, e strotche woe da veul artieste goen wuune (uuk veul marionnettiste).
Toone kan ni leize of schraaive, eï spèlt zaan stukke oeït zaane kop. De “Quatre Fils Aymon”, boeke van Dumas en Féval (on de maude deui de feuilletons dé in ge gazet komme – en da’s em vertelle…).
In ‘t echt allemo histaures dé de méése oeït eulen ellende trekke en dé ze doen druume…..
Eî spèlt in zaanen théjoeter mo uuk bei de méése thoeis, bei ander artiste, in fieste.
Eïj spèlt alle role en verandert zaan stem van klaan kind tot volwassene….uuk vrââve stemme en ander effekt van bruitage enz.
Do zaaïn nateurlaaik “manipulateurs” dé mè de marionnette spèile.
Antoine Genty sterft op 19 okteuber 1890.
Toone II : François Taelemans
En 1865, un jeune marionnettiste de 17 ans, François Taelemans devient le dauphin de Toone l’Ancien.
Y z’habitent la même maison à l’impasse des Liserons et font le même métier pendant la journée.
Pendant trente ans, François, dit Jan van de Marmit (son local porterait le nom « In de Marmit » ) fait le marionnettiste autre part que chez Toone I et c’est après la mort de Toone l’Ancien que François Taelemans sera désigné comme « Toone II ».
Y va rester dans le quartier des Marolles : dans la rue Pieremans, derrière la salle de danse de Roze Poeltje, dans la rue Blaes chef Jef Patei.
Mais avec une nouvelle réglementation sur les salles de spectacle , y va avoir difficile: la cave où il exerce ses talents est trop humide et l’autorisation lui est refusée.
Il écrit une lettre ousqu’y dit qu’y doit absolument jouer les marionnettes pour faire vivre sa famille et y reçoit quamêm’ l’autorisation d’ouvrir son théâtre au numéro 39 de la rue des Vers.
En mai 84, y déménage vers la rue de la Philanthopie – au numéro 9 -mais revient quatre ans plus tard au numéro 3 de l’impasse Vanderkeelen.
Il s’éteindra dans la misère le 29 janvier 1895 .
Toone II : François Taelemans
In 1864, ne joenge marionnetist van zeivetéén joer, François Taelemans, weut den “dauphin” van Toone l’Ancien.
Ze wuunne in hetzeulfd hoeis in d’Impasse des Liserons en werke soeme op dezeulfde ploch in den dag.
Dèteg joer lang zal François, mè zaanen bâânoem “Jan van de Marmit” (de ploch wo da tem spèldege was “In de Marmit”) op ander ploche as Antoine Genty en noe de duud van Toone l’ancien zal François Taelemansden titel van “Toone II” kraaïge.
Eï zal in de Marolle blaaïve : in de Pieremansstroet, achter de danszoel van Roze Poeltje, in de rue Blaes bei Jef Patei.
Mo do komt e neuwd règlement euver de spektoekzoele en domeï kraaïgt em ambrass : de kelder wo da tem spèlt ès te vochteg en zaan autorisoeze ès gerefuseït.
Eï goe nen brééf schraaive wo dat tem zeït dat em echt moe vouch speile vè zaan famile eite te kunne geive en eïkraaigt d’autorisoeze van zaanen théjoeter in de numéro 39 van de rue des Vers te zette.
In mââ 84 verhoeïst em no de rue de la Philanthopie, in de numéro 9 mo véér joer loeter kome em weï in d’Impasse Vanderkeelen in de numéro 3.
Eï steurft in de miseire den 29 janvier 1895.
Toone III : Georges Hembauf (dit Toone De Locrel)
Georges Hembauf a appris son métier de marionnettiste chez Toone 2.
En 1890, il reprend le local de Nicolas Dufeys, un « Toone du Mirliton (une dynastie de mationnettiste concurrente).
Ce local se situe au 74 de la rue du Miroir et y dit alors avoir repris « le commerce de Toone, le véritable Toone « (il faut savoir qu’à cette époque, la réputation d’Antoine Genty est si grande que chaque marionnettiste veut se faire appeler Toone.)
Son théâtre va déménager plusieurs fois pour s’établir, en 1897, dans une cave de l’impasse de Locrel….d’où il tire son surnom.
Cette impasse se situe sur le côté impair de la rue de la Rasière.
Selon ses dires, il possèderait 400 poupées et ces décors auraient une machiniste et un chef d’acteurs.
Son répertoire comprendrait 1000 pièces !
Il ajoute qu’il se différencie des autres en interprétant les rôles masculins mais en laissant les rôles féminins à son épouse Barbara Joanna Thienpondt.
Un stoeffer ou un qui veut affirmer son statut par rapport aux aut’ théâtres de marionnettes de l’époque ? On le saura sans doute jamais….
Une chose est certaine : son fils Jean-Baptiste – qui deviendra plus tard Toone IV – travaille avec lui pour préparer et habiller les marionnettes.
Une grosse innovation dans son jeu : l’usage de la langue du peuple. En temps normal, les représentations sont en Brussels Vloms de l’époque. Mais quand l’audience est composée de « gens riches », Toone joue en « Français ».
Attention, pas op ! les effets de langage du Brussels vloms ne font pas rire le public (contrairement à ce qu’on constate aujourd’hui : le parler Bruxellois mainant fait rire …en oubliant que c’est la seule langue parlée à une certaine époque par de nombreux Brusseleirs ). En effet, la langue utilisée est la langue de tous les jours pour la majorité des spectateurs et les gens comprennent pas bien qu’on sait rire de ça !
Y lui arrive de jouer en déplacement chez des particuliers, sur la place publique avec un castelet portatif.
C’est ossi le premier à garder des archives (archives fort intéressantes comme par exemple cette mise en garde du public : « On peut pas jeter des pêlures après la tête des artistes sous peine de flanquage à la porte ».)
Jusqu’à présent, c’était facile….attention, ca va pas durer !
Pasque voici arrivé un autre Toone III : Jean-Antoine Schoonenburg, dit Jan De Crol
Né en 1852 dans la rue des Renards, Jean_Antoine apprend les marionnettes avec Toone l’Ancien. Il reprend le théâtre de la rue des Liserons avec ses fils, jusqu’en 1911.
Chapelier de son état, il a constamment ’un haut de forme sur sa tête qui cache un peu son abondante chevelure….d’où son surnom de Jan De Crol. (pour les non initiés, une crol est une boucle de cheveux pour un Brusseleir….une crolle quoi….).
Son répertoire est classique et y joue des œuvres comme les romans de Dumas mais aussi entre autres « La Reine Margot », « Napoléon », « Le Lion des Flandres « d’Hendrik Conscience, « La Muette de Portici ».
La représentation des trois romans de Dumas (Les Trois Mousquetaires, Vingt ans après, Le Vicomte de Bragelonne) durait deux mois…….une façon moderne de faire revenir ses spectateurs chaque soir pour voir un nouvel épisode.
Schoonenburg fabriquait ses marionnettes lui-même et il en possédait plus de 300.
Il apporte aussi du parler bruxellois dans son répertoire. On y retrouve en effet des titres comme « Le Zatlap corrigé », « Och ! Een Tas chocolat mi een klontche soieker’ ».
Il interprétait aussi « La Bataille de Waterloo » en deux tableaux . Premier tableau : Napoléon dans sa tente. 2e tableau : Le champ de bataille. Sur scène, 135 marionnettes !
Mais le paysage de la vie culturelle bruxelloise est en train de changer : les salles de danse et les cafés chantants vont avoir raison du succès de Jan De Crol et il va bientôt céder sa place à Toone V.
On contunue de voir Jan De Crol se promener tristement dans la rue Haute le dimanche et il finit par se pendre en 1926 parmi ses marionnettes au numéro 15 de l’impasse des Liserons ……
Voilà, pour la première partie de l’histoire des Toone. J’espère que ça vous a
intéressé et que vous serez nombreux à attendre impatiemment la suite de la saga.
Toone III : Georges Hembauf (Toone de Locrel)
Georges Hembauf eï zaane stéél bei Toone II geliet.
In 1890 herpakt em et théjoeter van Nicolas Dufeys, ne “toone du Mirliton (een ander famile marionnettiste).
Da lââ in de 74 van de rue du Miroir et eï zeït dat em de « commerce van Toone, den echten Toone herpakt eït (ge moet wèl weite da d op da moment éédere marionnettiste de noem van “Toone” wââ droege).
Eï verhoeist verschillende kiere uuk en in 1897 spèlt em in ne kelder van van den “Impasse de Locrel”….van woe zaanen bâânoem).
Deï impasse was on de kant van de rue de la Rasière.
Volgnes zaan aaige weude, ââ em 400 marionnette en zaan decors woere 4000 frank wèèd. Eï ââ uuk téén méése dé vè em werktege (onder andere ne chef machinist en nen “chaf acteurs), zaan repertwââr : mier as 1000 stukke !
Eï zââ uuk dat em anders as d’ander was : de rolle van de vrââve in zaan théjoeterstukke woere deui zaan vrââ g’interpreteit.
Was da jucht nen dikke stoeffer of wââ em jucht e verschil moeke tussen al d’ander ? Néémand zal et nuut ni weite…….
Ien dinge da zeikerst ès : zaane zaun Jean-Baptiset dé loeter Toone IV goe weude – werket mè em vè de poepe te prepareire en te verklie.
Toch ès éét hiel neuwd in za spèl : eï gebreukt de toel van et volk. Normoel zaan de stukken in Brussel vloms mo as de spectateurs rraike méése zaain, spèlt em in et Frans.
Ge moet uuk wèl verstoen dad et publéék ni altaaït lacht mè de Brusselse “langage” at em gebreukt (Nââ moete de méése altaaït lache as ze éémand Brussels Vloms uure spreike mo in daan taaïd was da t de toel van de stroet, alleman sprak Brussels).
Eî spèlt uuk bei particuléére, op stroet mè ne klaane castelet.
Et ès uuk den ieste dé archééves goet ââve (en das’ interessant, onder andere daane “avertissement vè za publéék : “On peut pas jeter des Pêlures après la tête des artistes sous peine de flanquage à la porte ».
Tot nââ toe was et gemakkelaaik…mo pas op da goe i deure !
Want éé komt nen andere Toone III : Jean-antoine Schoonenburg, (benoemed as Jan de Crol)
Gebauren in 1852 in de Vossestroet Jean-antoine lie zaane stéél mè de marionnette bâ Toone l’ancien. Eï herpakt den théjoeter van de rue des Liserons euver mè zaan zauns, tot in 1911.
Zaanen “echte” stéél ès chapelier en de méése zéén em altaaïd rondluupe mè ne “chapeau buse” op zaane kop (een boeis in ’t Brusels)….nen haud dé zaa lank hoer ni leut zéén…..van dou zaanen bâânoem van Jan de Crol (vè deï dé et ni weite, een crol ès ……een crol vè de Brusseleirs).
Vè zaane repertwââr kéést em klassieke stukke ( de boeken van Dumas, mo uuk “La Reine Margot”, “Napoléon”, “De Leeuw van Vlaanderen” van Hendrik Conscience, “la muette de Portici”.
A ’t em de drââ boeke van Dumas spèlt (De Drââ Mousquetairs, Vingt Ans Après en de Victomte van Bragelonne) deut da téé moeind……een moderne manéér van zaan spectateurs te fideliseire (ze kwoempe alle doege vè nen neuve épisode te zéén).
Schoonenburg mokte zaan marionnette zeulf en eï ââ er mier as 300.
Eïj stoempte uuk Brussels Vloms in zaane repertwââr (onder andere “le Zatlap Corrigé” of “Och ! Een Tas Chocolat mi een klontche soeiker”.
A ’t èm “La Bataille de Waterloo” spèldege, was dad in twee tableaus : den ieste : Napoléon in zaan tent en den twiede : “le Chap de Bataille”. Op scène, 135 marionnette !
Mo…..et kultureil leive van Brussel ès on ‘t verandere : de danszoele en de « Cafés chantants » kraaïge mier en mier suksès en da goe ni lank deure veuï dad em zaan ploch on Toone V euver gèft.
De méése van de Marolle kunnen em nog regelmoeteg op zondag zéén rond wandele in d’Huugstroet mo in 1926 goet em em ophange tussen zaan marionnette in numéro 15 van d’Impasse des Liserons……
Voilà, da’s d’ieste stuk van d’histaure van de Dynastie van de Toone. Ik haup da g’et geire geleize èt en dad er veul zulle zaain vè ’t vervolg te leize in de volgende gazet.

30.08.2025 – 20h00
« La Roue du Métro » – Chaussée de Mons 1104 – 1070 Anderlecht
30.08.2025
« La Roue du Métro » – Chaussée de Mons 1104 – 1070 Anderlecht on 20 eure
06.11.2025
Concert privé pour « La Ligue Braille » à Forest
06.11.2025
Privé concert vè « La Ligue Braille » in Veust
04.04.2026
« Le Petit Chapeau Rond Rouge » – rue Père Eudore Devroye 12 – 1040 Etterbeek (les réservations sont déjà ouvertes – voici le lien) : https://view.utick.be/?module=REPORTATTENDEES&m=3CDD8E30-C665-4AC4-0D9B-6C3E46D9FD1B
04.04.2026
« Le Petit Chapeau Rond Rouge » – rue Père Eudore Devroye 12 – 1040 Etterbeek (ge kunt al reserveire !) : https://view.utick.be/?module=REPORTATTENDEES&m=3CDD8E30-C665-4AC4-0D9B-6C3E46D9FD1B
21.04.2026
Concert à Koekelberg pour « De Manne van de Platoo »
21/04/2026
Concert in Koekelberg pour « De Manne van de Platoo »
22.05.2026 et 23.05.2026
Brussels Jazz Week End chez Toone
22.05.2026 et 23.05.2026
Brussels Jazz Week End chez Toone
29.05.2026
Concert à Poperinge
29.05.2026
Concert in Poperinge
Voilà zi, c’est fini pour cette fois ci. On se retrouve au courant du mois d’août. Bonnes vacances et attention au zotteslag, mettez de la crème scolaire !
Alainke de Brusseleir
Voilà zi, ‘t ès gedaun vè deize ki. Tot in ogustes. Goeie congeï en pas op vè de zotteslag !
Alainke de Brusseleir